1980
1980 | Les événements.
Confirmation de la fin des concessions en 1981.
Radio-Andorre et Sud Radio savent qu'elles vivent leur dernière année de quiétude car le Conseil Général ne revient pas sur sa décision de ne pas renouveler les autorisations d'émettre en avril 1981. Cette décision est d'ailleurs confirmée officiellement en mars 1980, mais Radio-Andorre reste sereine car elle est persuadée que les installations pourront être cédées au Conseil Général et que l'équipe sera autorisée à rester en place et à gérer la station.
La Direction de Radio-Andorre va répondre positivement aux demandes du Conseil Général, notamment de lui fournir un inventaire complet des installations. En revanche, du côté de Sud Radio, on refuse de fournir l'inventaire des installations et la Sofirad proteste officiellement auprès du Conseil Général contre cette demande.
Mais les exploitants de Radio-Andorre vont subir de nombreuses pressions de la part de Eirasa, la société qui dépend du gouvernement espagnol et qui s'estime toujours propriétaire des installations. Comme Eirasa ne peut pas répondre au Conseil Général en lui fournissant un inventaire, elle va exiger des exploitants de Radio-Andorre de lui fournir cet inventaire. Ses demandes resteront lettres mortes.
L'année 1980 va donc être une année de fortes tensions entre la Sofirad et le Conseil Général, entre Eirasa et Radio-Andorre. La presse française, espagnole et andorrane va s'emparer du sujet et sensibiliser l'opinion publique sur cette probable fermeture prochaine des deux stations. Un manifeste va même circuler en Andorre, signé de 70 notables environ et apportant leur soutien au Conseil Général dans son action pour le règlement de la radiodiffusion. Ce manifeste réclame aussi la réunion d'une "Assemblea Magna" sur le sujet.
Radio-Andorre va demander audience auprès du Conseil Général afin d'avoir une réponse sur sa proposition de cession de ses installations à l'assemblée andorrane. L'année se terminera sans avoir de réponse à cette proposition.
Elle demandera aussi une audience auprès du coprince épiscopal qui se trouve dans une situation délicate, partagé entre les intérêts espagnols auxquels il ne peut pas rester insensible, ceux d'une radio qu'il a toujours soutenu et ceux d'une population andorrane qui est solidaire de son Conseil Général et veut s'affranchir de la tutelle de la France et de l'Espagne représentée par ses coprinces.
Contexte général sur la radio en mutation tant en France qu'en Espagne.
Si l'Andorre veut récupérer la souveraineté sur ses ondes et donc nationaliser la radiodiffusion qui était confiée à des sociétés privées, on assiste à des mouvements totalement inverses en France et en Espagne.En France, la perspective des élections présidentielles de mai 1981 pose le problème du maintien du monopole d'État sur la radiodiffusion. Des radios pirates émettent clandestinement dans tout le pays et réclament la fin du monopole d'État. Le candidat socialiste, François Mitterrand, se prononce pour la fin de ce monopole et s'oppose donc au Président actuel, Valéry Giscard D'Estaing, qui tient à conserver ce monopole. Comme en Italie ou en Belgique, le mouvement dit "des radios libres" est enclenché et parait ne plus pouvoir être remis en cause.
En Espagne, la situation est différente mais répond à une même aspiration. Dans ce pays les radios privées et les radios locales ont toujours été nombreuses et peuvent répondre à une aspiration de proximité de la part de la population, aspiration qui n'est pas satisfaite du côté français. Le seul problème et que l'information n'y était pas libre et totalement soumise au pouvoir et au gouvernement. La fin du franquisme a fait naître une aspiration à plus de liberté et de démocratie dans le pays. De fortes pressions ont lieu pour que la RTVE ne dépende plus du gouvernement et que les radios privées retrouvent leur totale liberté en matière d'information. C'est la fin de la censure qui se dessine en Espagne.
Ces aspirations de fond vont chambouler totalement le paysage audiovisuel des deux pays et des autres pays européens. Partout va cohabiter à la fois une radio d'État qu'on va appeler "le service public" et un secteur privé plus ou moins réglementé.
En Andorre, l'aspiration à la liberté et à la fin de la tutelle des pays voisins est plus forte que celle de posséder une pluralité de radios. Les radios en place sont devenues le symbole du colonialisme français et espagnol et l'absence d'une radio d'État qui validerai sa légitimité, se fait cruellement sentir. La revendication de la langue catalane comme langue officielle du pays montre aussi le décalage d'une population avec les radios du pays. Si Radio-Andorre a, depuis peu, instauré une émission en catalan dans la soirée, on y parle encore très majoritairement le français et largement le castillan. Quant à Sud Radio, c'est le français qui occupe l'antenne. Si Radio-Andorre accepte de devenir la prochaine radio d'État en cédant ses installations au Conseil Général, elle sous estime peut être la volonté de changement des andorrans et la force du symbole qu'elle représente encore.
Radio Andorre reçoit l'ancien Directeur de Sud Radio à son micro
Alors que les deux anciennes radios concurrentes, qui se sont toujours livrées une lutte sans merci, semblent être liées par le même sort vis-à-vis des autorités andorranes, un certain dégel se produit entre les équipes. Les animateurs de Sud Radio et de Radio Andorre, qui pendant plus de 20 ans n'avaient pas le droit d'avoir entre eux le moindre contact, se rencontrent, se lient d'amitié et sortent ensemble dans les discothèques andorranes. Il paraît même qu'une idylle lie un animateur de Radio Andorre à une animatrice de Sud Radio, mais cette rumeur ne laissera aucune trace dans l'histoire des deux stations. Le 8 mars 1980, Gilles Marquet reçoit au micro de Radio-Andorre, à la foire de Toulouse, celui qui fut le patron de Sud-Radio, René Duval, qui vient d'écrire un livre sur la radio : "Histoire de la Radio en France" Éditions Alain Moreau. Cet ouvrage n'élude pas l'histoire des deux radios andorrranes et l'aborde objectivement. Il laisse entrevoir également les troubles que vont connaître Sud-Radio et Radio-Andorre avec l'échéance de la concession de 1961 l'année suivante.A la confusion faite entre Sud Radio et Radio-Andorre par un invité représentant une radio libre toulousaine, Gilles Marquet va répondre à l'antenne sur ce sujet : Il va considérer qu'il n'y a aucune rivalité entre Sud Radio et Radio-Andorre mais que Radio-Andorre s'oppose à la Sofirad, société d'État qui veut avoir le monopole de la radio privée en France.
Cf intégralité de cette émission dans les documents sonores ci-dessous.
Chronologie - 1980
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10 mars 1980 :
La non reconduction des concessions est à nouveau signifiée par voie notariale aux signataires des accords de 1961 : Sofirad et Eirasa. La lettre adressée à Eirasa est une nouvelle fois adressée à Radio-Andorre qui en refuse la réception. La lettre sera remise au Viguier épiscopal qui avait accrédité Eirasa en 1961.
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21 juin 1980 :
L'administration espagnole essaie d'obtenir l'inventaire des installations de Radio-Andorre. Aucune suite ne sera donnée à cette demande par Radio-Andorre..
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26 juin 1980 :
Le Conseil Général décide la création d'une entité de droit public nommée "Radiodifusio Andorrana". Il demande à nouveau à Radio-Andorre et Sud Radio de fournir un inventaire de leurs installations.
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9 juillet 1980 :
Les deux délégations permanentes adressent au Conseil Général une lettre commune lui indiquant que le problème des radios est également de la compétence des coprinces et que des consultations doivent être prévues entre les services du coprince et une commission restreinte du Conseil Général.
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10 juillet 1980 :
Les exploitants de Radio-Andorre répondent au Conseil Général qu'ils sont d'accord pour lui fournir les documents demandés.
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11 août 1980 :
Eirasa renouvelle par voie notariale auprès de la direction de Radio-Andorre la demande du Ministère de la Culture espagnol d'avoir l'inventaire des installations. Il n'y sera pas répondu.
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5 septembre 1980 :
La Sofirad indique au Conseil Général qu'il n'y a pas urgence à lui fournir un inventaire des installations.
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22 septembre 1980 :
M. Ramon Pla, directeur du service des télécommunications d'Andorre, est officiellement chargé d'établir les inventaires des stations.
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30 septembre 1980 :
Première visite de M. Pla à Radio-Andorre en compagnie de Marc Vila, notaire.
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1er octobre 1980 :
M. Pla se rend à Sud Radio qui lui oppose une fin de non recevoir.
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7 octobre 1980 :
Lettre d'Eirasa au Syndic Général pour reprocher au Conseil de s'être adressé aux exploitants de Radio-Andorre pour obtenir les inventaires de la station.
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10 octobre 1980 :
Remise de l'inventaire complet de Radio-Andorre par les exploitants à l'expert du Conseil Général.
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16 octobre 1980 :
Lettre de protestation de la Sofirad auprès du Conseil Général contre sa demande d'inventaire.
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28 novembre 1980 :
Remise par les exploitants de Radio-Andorre à M. Pla des estimations des installations de la station.
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5 décembre 1980 :
Trois fonctionnaires espagnols, munis d'une procuration émanant des administrateurs d'Eirasa, se présentent à Radio-Andorre en compagnie du notaire épiscopal, M. Marc Vila, pour réclamer les inventaires. La direction répond que "la demande est sans objet".
1980 | Les programmes
Saison 80-81 : Une information plus musclée.
Dans la suite de cette tradition inaugurée il y a trois ans, c'est un animateur de RTL qui parraine la nouvelle grille de programme de rentrée de Radio-Andorre. Après Gérard Klein en 78 et Jacques Martin en 79, c'est Maurice Favières qui inaugure la saison 80-81 de Radio-Andorre. Cette année, grâce à ses accord avec RTL, la station décide de muscler davantage ses sessions d'information. De 6h à 9h, le "Music and News" est présenté par un couple d'animateurs. Après René Hervé, c'est le nouvel animateur Benoît Laurent qui co-présente cette session avec Anne-Marie Vincent. En dehors de la chronique de Philippe Alexandre qui est envoyée par ligne spéciale chaque jour par RTL, les nouvelles du jour sont lues à l'antenne par l'animateur entre deux disques. Anne-Marie Vincent présente le journal et inaugure une nouvelle émission de 9h à 10 h : "L'Actualité au Féminin." A midi, le "Magazine des Pays d'Oc" est porté à deux heures (12h-14h). De 12h à 13h, c'est l'actualité de Midi-Pyrénées qui est présentée depuis Toulouse par Alain Tibolla . L'émission semble être diffusée en direct, en fait ce sont des bandes enregistrées par Alain Tibolla à Toulouse qui sont diffusées depuis l'Andorre. A 13h, Christian Guillard présente un vrai journal complet avec des reportages, des interviews envoyées par la rédaction de RTL. Les journalistes de Radio-Andorre pratiquent aussi intensément la pige des journaux télévisés et de ceux de France Inter, parfaitement audible en Principauté contrairement à Europe 1 ou RTL. Les déclarations des hommes politiques sont directement enregistrées à la télévision et repassées à l'antenne. Ainsi Radio-Andorre peut présenter un journal qui n'a rien à envier à ceux des autres périphériques. Le journal du soir, présenté aussi par Christian Guillard, s'enrichit de nouvelles chroniques et des informations régionales.Peu de changements dans les émissions musicales.
"Contacts", "Studio 80", "Rideau Rouge", Disque d'Or" et "Salut les Copains" sont toujours programmés dans la grille 80-81. Seule nouveauté, une nouvelle émission de jazz est diffusée le dimanche à 18 h. "Jazz Tribune" est confiée à Jean-Paul Guiter, un des meilleurs spécialistes français du jazz. On doit à ce Toulousain de nombreuse rééditions des plus grands noms du jazz. A partir d'octobre, cette émission de jazz sera confiée à Marcel Zanini, musicien de jazz qui vient de connaître la popularité avec son tube "Tu veux ou tu veux pas ?"."Mer et Montagne", les jeux de Radio Andorre.
L'émission Mer et Montagne propose un certain nombre de jeux :- Le Jeux des Intros : Consiste à deviner le titre d'une chanson après l'audition de son intro.
- Il était une voix : Trouver le nom d'une vedette ou d'une personnalité à travers un extrait d'interview.
- Garder le rythme : Consiste, après l'audition du début d'une chanson, a prendre le relais de l'interprète durant 20 secondes lorsque le disque est shunté, et à garder le rythme lors de la reprise.
- L'intruse : Dans une liste de succès d'un chanteur, il faut trouver le titre qu'il n'a pas interprété.
- L'oreille fine : les concurrents doivent reconnaître les titres des chansons dont de très brefs extraits sont enchaînés. Les mêmes titres peuvent être évoqués plusieurs fois. Le gagnant est le concurrent qui a reconnu le plus grand nombre de titres.
- La chanson truquée : Les concurrents doivent désigner les trucages subis par une chanson connue (couplets inversés, mots ajoutés, répétés ou retranchés)
- Parlons clair : Les concurrents ont à prononcer correctement une phrase ou une suite de mots dont l'enchaînement présente des difficultés. Exemple : panier, piano, piano, panier...
- Musique sans paroles : Il faut trouver le titre d'une chanson en écoutant seulement le thème musical.
- Vrai ou faux : Questions insolites auxquelles il convient de répondre par "vrai" ou "faux" après seulement 5 secondes de réflexion.
Vendredi 19 décembre 1980 | Grille de programmes
◼︎ 09h30 : L'ACTUALITÉ AU FÉMININ : Anne-Marie Vincent.
◼︎ 10h00 : PIERRE ALEXIS ◼︎ 11h30 : Les Jeux
◼︎ 12h00 : LE MAGAZINE DES PAYS D'OC : Présenté par Christian Guillard, et Alain Tibolla - Informations chaque demi-heure ◼︎ 12h00 :Alain Tibolla depuis Toulouse ◼︎ 13h00 : Le Journal de Christian Guillard ◼︎ 13h15 : Philippe Alexandre ◼︎ 13h45 : Pays-d'Oc : Émission en occitan de Miguel Rossolin avec Jean-Jacques Debezy, Catherine Laurens et Jacques Pelletier
◼︎ 14h00 : CORINNE
◼︎ 16h30 : DISQUES D'OR - Arty Parera.
◼︎ 18h00 : HIT-PARADE Informations chaque demi heure de 18h à 21h
◼︎ 18h30 : Le Journal de Christian Guillard
◼︎ 19h00 : STUDIO 80 - Stéphane Larra
◼︎ 21h00 : LE MAGAZINE DES VALLÉES D'ANDORRE : de Joseph Casemajor. Informations à 21h30
◼︎ 21h00 : BONSOIR L'EUROPE : par Gualbert Osorio ◼︎ 22h30 : Radio Cassette ◼︎ 22h45 : Informations ◼︎ 23h00 : Self-Service
◼︎ 24h00 : Fin des émissions
1980 | Équipe
Les nouvelles voix de l'année 1980
Radio-Andorre reste une pépinière pour les futurs professionnels de la radio. Si elle devient en quelque sorte la plus grande école d'animateurs de radio, la contrepartie est que son équipe est en constant renouvellement. Si de nouvelles voix se font entendre chaque année c'est parce que d'autres sont parties sur d'autres ondes. Avec une perspective incertaine à l'horizon proche de 1981, beaucoup d'animateurs vont prendre les devants et quitter le navire avant le naufrage. Mais l'équipe de direction reste très stable avec les frères Marquet qui se battent pour que la radio continue à s'améliorer mais aussi avec Arty Parera, professionnel reconnu qui dirige les animateurs avec autorité et Alain Tibolla qui se révèle de plus en plus comme un grand de la radio comme le furent certains de ses prédécesseurs à la tête du service artistique de la station.
- Benoît Laurent, jeune étudiant de 21 ans, débute sa carrière radiophonique en animant la session 6h- 9h de Radio-Andorre.
- Corinne remplace Nadine à la rentrée 1980.
- Pierre Alexis sera fidèle à la station jusqu'à son arrêt. Il fera ensuite une longue carrière radiophonique à Radio-France sous vrai nom Thierry Thuillier.
- Anne-Marie Vincent rejoint la rédaction. Après Radio-Andorre on la retrouvera aussi sur de nombreuses autres radios et à la tête de rédactions de radios du service public.
- Daniel Chabat : Il fera un court passage en Principauté mais une belle carrière en radio et en télévision ainsi que dans le cinéma sous son vrai nom : Alain Chabat
Organigramme - 1980
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Président :
Jean Delvigne
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Directeurs Généraux :
Gilles Marquet
Jean-Louis Marquet
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Directeur des programmes :
Arty Parera
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Services artistiques
Alain Tibolla
Coordinatrice des Programmes :
Juana Tellez
Animateurs français :
Alain Tibolla
Michel Borry
Arty Parera
Benoit Laurent
Corinne
Pierre Alexis
Gilbert Etienne
Daniel Chabat
Nadine
Olivier Penin
Christian Poncet
Stéphane Larra
Edith Pope de Gerini
Marie Araceli
Gilbert Jalliffier
Max Arratano
Michel David
Journalistes et reporters :
Catherine Laurens
Christian Guillard
Jean-Jacques Debezy (Toulouse)
Robert Marcet (Toulouse)
René Hervé (Biarritz)
Claude Ferran (Albi)
Jacques Pelletier
Marie-France Many
Anne-Marie Vincent
Benjamin Franck
Animateur en catalan :
Josep Casemajor
Animateur en occitan :
Miguel Rossolin
Animateurs espagnols :
Gualbert Osorio
Angelines Gutiérrez
Responsable de la Publicité :
Montserrat Rodriguez
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Techniciens émetteur :
Jean-Louis Marquet
Techniciens :
Paul Cousse
Frederico Palmitjavila
Miguel Castillo
Firmy Malleu
Miquel Rouch
Patrice Lavigne
Pere Novau
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Opérateurs du son :
Opérateurs du son :
André Coll
Edouard Monzo
Ramon Sanchez
Marc Pariente
Marc Juvin
Thierry Morat
Alphonse Lacoste
Fernando Orcajo
Philippe Marquet
Guy Minthorne
-
Administration :
Administration :
Claude Codina
Anna Doladé
Mercedes Puigcercos
Carmen Valencia
Odette Mendez
Rosa Garcia
Christina Lluelles
Maria Olmo
Hélène Sanchez
Marie-Claude Firmy
Les biographies.
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1980 | Informations techniques
Identification
Logo :
Indicatif :
"Aqui Radio-Andorra, emisora del Principado de Andorra
Ici Radio-Andorre, émission de la Principauté d'Andorre"
Slogan :
La Radio des Pays d'Oc
Fréquences
Ondes moyennes :
428 m - 701 Kc
Émetteur :
Brown Boveri
Puissance : 250 kw
Ondes courtes :
48,15m - 6230 kc
Émetteur :
Brown Boveri
Puissance : 25 kw
Adresses
Studio :
Roc des Anelletes
BP 1
Andorre-la-Vieille
Principauté d'Andorre
Émetteur :
Encamp
Principauté d'Andorre
Régie publicitaire
Pour la France :
- MIDI MEDIA
16 rue de Passy - Paris 16e
44 rue Bayard - 31000 Toulouse
Pour l'Espagne :
- PIRSA Diego de Leon, 50 - Madrid
- CASCASA Paseo de Gracia, 12 - et RAPRO Obispo Catala, 40-42 Barcelona
1980 | Documents
Documents internes
Articles de presse
Archives sonores
Émission sur les radios libres. Gilles Marquet reçoit René Duval, Gérard Milhes de Radio Barbe Rouge à Toulouse, Christian Doran de la Fédération Nationale des Radios Libres et Christine Pichinin, étudiante en journalisme.
source : Dominique Duée
Émission sur les radios libres (suite)
source : Dominique Duée
source : Thierry Hamon
source : Thierry Hamon
source : Thierry Hamon
- Les informations de René Hervé
- "Music and News" : la matinale présentée par Michel Borry
- "Mer et Montagne" : Les jeux en duplex entre Andorre la Vieille et Canet Plage. Avec Michel Borry, Nadine et Stéphane Larra. Réalisation : Marc Parriente.
- "Le Magazine des Pays d'Oc" : avec Christian Guillard et Jean-Jacques Debezy. Informations : Anne-Marie Vincent. Chronique : Catherine Laurens. Chronique en occitan : Miquel Rossolin. Réalisation : Edouard Monzo (à Canet Plage) et Marc Juvin (en Andorre).
- "Radio Bleue" : avec Arty Parera (à Canet) et Philippe Hubert (en Andorre).
source : Jacques Chareyre
source : Thierry Hamon
source : Thierry Hamon
source : Thierry Hamon
début des émissions en catalan de Joseph Casemajor.
source : Thierry Hamon
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
source : Georges Maltot
- "Le feuilleton de Daniel Chabat". Réalisation Marc Parriente.
- "Carte Blanche" : Emission confiée à un artiste. Extraits des émissions présentées par Yves Duteil, Régine, Gonzague Saint Bris.
- "SLC - Salut les Copains" : reprise de la célèbre émission de Daniel Filipachi par Arty Parera sur Radio Andorre.
- "Contact" : avec Arty Parera. Réalisation Alphonse Lacoste. Interview de Coluche.
- "le Hit-Parade de Radio Andorre" présenté par Nadine.
source : Jacques Chareyre
source : Dominique Duée
source : Dominique Duée
source : dxarchive.com
1980 | Sources.
Sources bibliographiques :
- FRANK TÉNOT - Radios Privées Radios Pirates - Ed Denoël 1977
- RENÉ DUVAL - Histoire de la Radio en France - Ed Alain Moreau 1980
- CHRISTIAN BROCHAND - Histoire Générale de la Radio et de la Télévision en France Tome 2 1944-1974 - CHR La Documentation Française - 1994
- EUGENIO GIRAL QUINTANA - La radiodifusión en Andorra. Política, economía y espacio comunicacional en un país dependiente - Université de Barcelone - 1988
Crédits photographiques de cette page.
- Programmes
: Photo DR - Archives privées de Jean-Marc Printz
- Equipe : Photos DR - Archives privées de Benoit Bigois
- Christine
Fontane : Photo DR - archives Dominique Duée
- Archives privées de Dominique Duée
- Journal Sud-Ouest Archives privées de Dominique Duée
- Archives
privées de Dominique Duée
- Archives
privées de Dominique Duée
Archives sonores :
- Extraits n°3, 4, 5, 7, 9, 10 : Archives personnelles de Thierry Hamon.
- Extraits
n° 1, 2, 23, 24 : Archives personnelles de Dominique Duée
- Extraits n° : Archives https://www.dxarchive.com
- Extrait
n° 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21 : Archives personnelles de Georges Maltot
- Extrait
n°§ et 22 : Archives personnelles de Jacques Chareyre
Documents internes :
- Archives privées de Benoit Bigois (Benoit Laurent)
- Enquête
sur l'auditoire : archives privées de Christian Guillard
Informations et témoignages :
- Jean-Louis Marquet, Georges Maltot, Dominique Duée, Benoit Bigois.
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Avertissement
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